Loi des finances et ça recommence, La fripe dans les tripes

La loi de finance 2011 à peine éclose, elle met en valeur ceux qui l’ont discuté et approuvé et mise en liberté  de circulation, provoquer la tranquillité et importuner  les sécurités.

La friperie, meme si elle en raffole à une très grande majorité d’algériens, elle fait quand meme des mecontents, des victimes, des instables qui auront peur pour leur avenir et craindre davantage qu’on vote dans la chambre juste pour s’occuper, donner l’apparence de s’inquiéter d’un sort et ne fait penser en réalité qu’à son existence et anticipé son retour pour rediscuté l’amendement de la fripe en 2012, prévoir de prolonger sa vie dans la vie, sous prétexte de revenir à la raison, pourvu qu’on tient à être reprogrammé, réélu.

En promettant de revenir dans sa décision après expiration d’un souffle à la fin d’un mandat en faveur des blessés, proie par peur et de fatigue,  marchent sur les temps, manipulent  des corps et des âmes, jouent avec des pensés et prolongent enfin une existence à discuter des sorts sans s’en soucier, à approuver des lois sans analyser les revers. 

Le linge usé a réussi à convaincre la chambre haute et charmer ceux du bas à permettre l’envahissement par la loi, le marché interne du textile. Le linge propre algérien a été poussé de force par un linge sale rendu plus propre au nom de la loi.

On propose toujours une chose et promet sa révision pour faire rêver et couler les pensés dans le renouvèlement   pour favoriser sa survie dans la chaine, que celle d’un linge local, battu déjà par le creux des poches  d’un citoyen lassé devenu proie.

Desormais, l’amendement fripe dans son article 7 bis a secoué le marché local et détruit le toit de ceux qui y habitent. La fonction locale n’est pas détendue pour au moins et à la rigueur, stabiliser une instabilité, par peur de devenir plus instable ou pire.

L’évolution depuis la révolution, ou révolte pour ne pas atterrir à l’unique symbolique, a installé un contre poids de tout ce qui ne va pas. Les choses se discutent et s’approuvent en haut, mais la base, concernée, évalue, accepte ou rejette.

Le peuple se rassemble aussi, discute, comme le font les travailleur du secteur dans leur chambre à ciel ouvert, dans la rue contre des mesures discutées sans vrais discuteurs, sans concernés ni connaisseurs.

Le résultat c’est le mécontentement, puis la rue, le désordre et enfin le doute d’une discution, d’une décision à la hauteur de sécuriser un citoyen, de sauver un secteur, de stabiliser un état et de vivre éternellement dans la peur d’être éjecter de la chaise et mentir pour y rester jusqu’à la fin de vie.

One thought on “Loi des finances et ça recommence, La fripe dans les tripes

  1. dans notre pays la consolation est devenue monnaie courante joindre l’utile à l’agréable .Parmi nos richesses l’exportation du pétrole et du gaz ; nos élus dans les premières loges ont choisi l’adoption dans la loi des finances 2011 l’importation des déchets vestimentaires pour ne pas dire chiffons pour que le malheureux citoyen trouve aux yeux de la société son bonheur, au fond il lutte contre la pauvreté qui le ronge qu’il soit fonctionnaire ou autre alors l’impacte de la friperie dans notre pays est une valeur ajoutée quand le parlement viol la loi , importer de la friperie par amendement est la solution d’alléger le pouvoir d’achat solution rapide par TGV une publicité sans aucune étude un évènement discrédité d’avance où les sénateurs occidentaux renouvellent leurs gardes robes es ce une permutation ou un échange ! pour ne pas dire commerce.

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